« Le FMI, bouc émissaire habituel sera notre meilleur ami jusqu’en 2024 bien qu’étant… » « Le FMI, bouc émissaire habituel sera notre meilleur ami jusqu’en 2024 bien qu’étant… »

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SENTV : Le développement économique du Sénégal passera par celui de pôles territoires compétitifs et en compétition entre eux et chacun avec le monde pour promouvoir l’investissement national dans nos PMEs d’abord, et ensuite celui international en complément.

Pour que le national soit complété par l’international et non le contraire, il faut un système monétaire national d’accompagnement de même qu’un environnement des affaires libéral à l’échelle nationale et pas seulement dans des agropoles ou zones économiques spéciales pour les étrangers.

Chaque territoire aura un cadrage macroéconomique régional et leur somme sera le Sénégal. Le marketing territorial et national suivra ensuite.

Dans un tel contexte, les prix doivent être des signaux devant orienter la dialectique producteurs, consommateurs, investisseurs dans le marché. Les chambres de commerce locales sont la porte d’entrée pour comprendre cette dialectique.

Le rôle d’un Ministre du Commerce est de faire, en partie, des études micro-économiques sérieuses pour accompagner cette dialectique pour en déduire de bonnes synthèses et non de contrôler des prix. La spéculation fait partie du jeu de la concurrence.

L’illiberalisme populiste, conjoncturel, et électoraliste serait dommageable dans les 18 prochains mois à l’assemblée nationale et au Sénégal.

Le Fonds monétaire international, bouc émissaire habituel sera notre meilleur ami jusqu’en 2024 bien qu’étant la cible favorite des populistes du pouvoir comme de l’opposition, qui joueront sur deux tableaux (tromper les masses, et trouver un bouc émissaire).

Libéraux véritables du Sénégal unissez vous!

* Par Abdourahmane Sarr

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